Très chers frères et soeurs, as-salamou 3alaykoum

Dans la continuité de la vidéo précédente, nous nous interrogeons ici sur ce qui pousse certains frères et certaines soeurs à privilégier le contact direct avec la personne qui les intéresse plutôt que de passer par les familles.

Il n’est pas nécessairement question d’un choix mais souvent d’une contrainte, à travers cette vidéo nous verrons pourquoi.
La sounna est connue dans ce domaine, mais elle est rendue difficile à appliquer dans certaines situations, il est question ici de la responsabilité de toutes les parties, les frères, les soeurs mais aussi et surtout celle des parents.

Ainsi, nous rappellerons ce que ce sont des fiançailles du point de vue de notre religion, en montrant en quoi cette définition n’est pas vraiment perçue ainsi par les familles, ce qui rend la démarche un peu compliquée pour nos frères et soeurs.

Bon visionnage.

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3 commentaires

  1. Si le frère veux demander une fille en mariage, il doit demander au père de la fille. Mais, il y a trop de problèmes avec le père et que la communication est impossible, peut-il procéder à demander à la mère?

  2. Salam alaykoum et dans le cas ou une soeur que je croise dans la rue ou dans un supermarché par exemple me tape dans l’œil alors que je ne la connais pas, ni elle, ni ses parents ni son adresse et que je connais rien d’elle et de son entourage comment dois-je procéder pour contacter son père ou son tuteur ? Est ce alors permis que je m’adresse directement à elle pour demander les coordonnées de son père ou de son tuteur ?

  3. wa 3alaykoum assalam

    Lorsque j’ai abordé le “Taper dans l’oeil” cela ne renvoyait pas uniquement à la dimension physique mais à un ensemble qui pourrait être traduit par “Une fille ou un frère (pour les soeurs) m’intéresse”.

    Or, juste un regard dans la rue, suffirait-il pour m’intéresser réellement ? Ou c’est juste un intérêt physique ?

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